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« Les mondialisations sont elles vouées à l’échec ? »

 

C’est un plaisir pour moi d’apporter ma modeste contribution à la question des mondialisations qui fait couler  aujourd'hui beaucoup d’encre et de salive. D'après Sophie Brunel, les "mondialisation" désignent une nouvelle phase dans l'intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Ces mondialisations paraissent à la fois comme un moyen et un fardeau pour certains Etats.  C'est ce qui pousse certains d'entre nous à se poser  cette question: Les mondialisations sont – elles vouées à l’échec? 

            En cherchant à répondre à la question posée dans les lignes qui se suivent, je me permets de dire à posteriori que les mondialisations sont vouées à l’échec qu’elles soient politiques, économiques, sociales ou culturelles.

            Ma position traduit par cette réponse est le fruit de mes vécus quotidiens.
            
Au plan politique
             Il convient de noter qu’au plan politique, la mondialisation telle qu’elle est pratiquée est déjà vouée à l’échec du fait qu’elle est caractérisée par un déséquilibre notoire entre les Etats puissants et les Etats en voie du développement. Or idéalement, elle était conçue pour favoriser le développement de tous les pays groupés mais dans la pratique, ce ne sont que les Etats développé qui en tirent profits.

            Par ailleurs, au niveau des institutions internationales, il y a le non respect des principes entre les pays les plus nantis et les pays les plus pauvres en matière de prise de décisions ; généralement les décisions ne sont pas prises à l’unanimité ou si c’était le cas, la mise en application de celles-ci est toujours entachée d’irrégularité. De ce fait, il serait faux de dire que les pays en développement ne sont pas représentés au sein de l’organisation mondiale où chaque pays a une voix qui devrait se faire entendre et exécuter en matière de prise de décision et de son application pour le bon fonctionnement de l’institution en générale et des pays membres en particulier. Dans la pratique, les pays en développement se sentent toujours frustré après les prises de décisions au plan politique.

            De plus en ce qui concerne les échanges, on note surtout que dans le domaine politique, les tenues des échanges tels qu’ils ont été définis, ont manqué de franchise et les Etats puissants en profitent au détriment des Etats faibles car les actions des pays riches ont tendance à être dominées par la volonté d’instaurer des institutions efficaces, alors qu’il est important que ces institutions soient équitables, justes et fassent preuves de justice dans l’organisation tout entière. C’est donc la qualité et la force de la voix et non pas la voix elle-même qui conduisent à la décision, car la puissance de la voix est largement déterminée par le nombre de personnes dans la délégation mais en pratique, tout cela tourne en défaveur des Etats faibles. Ce qui apporte la frustration.

            Plus important encore, la mondialisation qui devrait apporter des solutions concrètes aux problèmes des pays groupés dans une institution internationale quelle qu’elle soit, force est de constater que malgré la mondialisation, le monde est toujours dominé par les plus puissants non seulement parce qu’ils sont riches ou politiquement avancés mais également parce qu’ils contrôlent les institutions tant nationales qu’internationales ainsi que les décisions.

            Par conséquent, la mondialisation ne rime à rien aujourd’hui à cause des inégalités entre les Etats puissants et les Etats pauvres ainsi que le déséquilibre qu’elle crée. Dans le contexte actuel, il faut innover et encourager les formes et fonds de participation politique autrement dit, la mondialisation n'a pas sa raison d'être. Or selon le concept même de la mondialisation, cela devrait être un carrefour de donner et de recevoir mais aujourd’hui, elle ne profite pas aux pays pauvres.

Au plan économique

            Au plan économique, les avantages de la mondialisation restent purement théoriques pour la plupart des pays pauvres, les pays les moins avancés et les petits Etats enclavés ou insulaires. La difficulté de la mondialisation économique s’explique par le fait de la faible participation des pays les moins avancés au commerce mondial.

            Dans le domaine du commerce international par exemple, on note qu’il y avait pourtant un système commercial reposant sur des règles générales visant essentiellement le développement des pays émergents et des pays en voie du développement lesquelles contribueront directement à la croissance économique de tous les pays membres. En conséquence, si tel n’en est pas le cas, je peux dire que la mondialisation économique est vouée à l’échec. Ce qui risquerait de provoquer le retrait des pays les moins avancés. Ainsi ; l’objectif recherché ne sera non plus atteint.

Selon les règles, la libération des échanges devra se faire de manière franche pour lever les contraintes résultants de la compétitivité et de son renforcement ainsi que de l’amélioration des capacités commerciales et donc en principe, tout devrait se faire en accord avec le renforcement du traitement préférentiel en faveur des pays les moins avancés, des petits pays enclavés ou insulaires, de ceux qui souffrent de différents maux ou qui sont très endettés ainsi que les pays qui ne font pas partie des pays les moins avancés mais qui sont importateurs nets de produits alimentaires et autres. Voila ce que la mondialisation économique devait résoudre comme problème malheureusement elle n’a pas pu le réaliser.

Il convient aussi de noter que, la mondialisation économique n’a pas résolu le problème de la dette des pays en voie du développement qui constitue pour eux-mêmes un poids insupportable qui mine leurs efforts pour réduire la pauvreté et qui entrave leur développement durable. Fort de ce qui précède, on est amené à nous demander est-ce que la mondialisation économique est une chance prévue ou un fardeau pour les pays les moins avancés et très endettés ?

Au plan social
         Au plan social, il est remarquable de constater que la mondialisation est vouée à l’échec parce qu’elle n’a apporté de solutions concrètes aux problèmes pour lesquels elle est conçue pour solutionner. De manière générale, les stratégies de participation ‘‘donner et de recevoir’’ n’ont pas été favorables aux pays les moins avancés au détriment des pays les plus riches. Or, selon ce concept même, la mondialisation sociale parait ici comme un système en faveur du développement pour tous les pays groupés ou qui se présentent au ‘‘rendez – vous du donner et de recevoir’’ tel que prévu au départ mais malheureusement, ce ne sont que les pays les plus avancés qui tirent le bénéfice du regroupement de ces pays surtout en matière du commerce internationale. En particulier, les pays les moins avancés membres du regroupement des Etats, souffrent des problèmes de dette intérieure, de pauvreté, de santé, de l’éducation. Ce qui réduit davantage l’espérance de vie dans ces Etats.

Malgré diverses initiatives prises par les experts et autres, la mondialisation n’arrive pas à résoudre les problèmes  du monde en général et des pays regroupés en particulier sur le plan social pourtant, conçue pour combler ce vide et c’est pourquoi un certain nombre d’initiatives ont vu le jour afin d’apporter une solution concrète à ces problèmes au niveau national, régional et international. Mais je constate avec amertume que la mondialisation sociale n’apparaît pas ici comme un palliatif de ces problèmes sociaux parce que les problèmes d’ordre social des pays les moins avancés continuent toujours et les enfoncent de plus en plus. Dès lors, l’on se demande à quoi sert concrètement la mondialisation sociale ? a – t – elle  encore sa raison d’être ?

Au plan culturel
        Au point de vue culturel, je ne peux qu’avouer l’échec de la mondialisation car le marché culturel des Etats les moins avancés est toujours menacé par celui des Etats les plus avancés. Il est aussi à noter que les initiatives des pays pauvres sont sans communes mesure avec l’exemple des pays  les plus riches. Nous pouvons relever comme exemple que les pays les moins avancés eux-mêmes sont naturellement puissants dans leurs riches patrimoines culturels qui devaient leur rapporter des devises pour leur développement. Cependant, il y a une inégalité dans la répartition des donnes après la participation de ces pays les moins avancés ce qui entraine toujours des désaccords.

De plus, sur le plan linguistique, la langue de communication devrait être déterminée par les impératifs commerciaux, mais cela n’a pas été le cas. Bien que la mondialisation qu’elle soit culturelle ou autre, est une expérience de longue date que les Etats puissants et faibles la considèrent à la fois comme une chance et un fardeau ; une chance parce qu’elle devait leur fournir une source intéressante et multiple d’expression culturelle, un fardeau parce qu’elle fait enfoncer davantage les Etats les moins avancés.

Sur le plan culturel, on voit les Etats les moins avancés qui revalorisent leur culture, leur patrimoine culturel et qui les présentent au niveau mondial mais ne sont pas jamais pris en compte. Tout est encore calqué que sur le modèle ou la culture occidentale. Nous pouvons prendre l’exemple particulier de la langue de communication au niveau des institutions et organisations internationales ou on utilise toujours que les langues occidentales. De ce fait, à quoi sert la mondialisation culturelle encore ? N’est-il pas nécessaire pour les pays les moins avancés de se tourner vers la fragmentation ? En principe, la solidarité entre les pays groupés dans la mondialisation devait se traduire par une forte capacité de mobilisation autour des activités culturelles telles que les langues, les cultures, la musique, la danse, les traditions orales, l’artisanat, la sculpture, le théâtre, l’architecture et décoration des communautés ou des pays groupés pour jouer un rôle actif dans la création et organisation des événements mondiaux (fête, festivals, cérémonies, rencontres traditionnelles internationales, spectacles etc.) afin  de ponctuer la vie sociale ou communautaire des pays groupés.

Par ailleurs, dans la mondialisation culturelle, le volontarisme politique des gouvernements de tous les pays groupés sans exception devait jouer un rôle important qui est celui de reconstituer et d’exprimer une identité fondée sur la reconnaissance des valeurs culturelles niées ou dévalorisées aux époques de l’esclavage et de la colonisation, d’une part, et de consolider les unités régionales que le découpage arbitraire des frontières a rendu incertaine d’autre part.  

Dans la mondialisation culturelle, les industries culturelles devaient jouer un rôle encore plus important à tous les niveaux du développement de tous les pays groupés. En principe, on devait rendre mobiles les produits culturels soit en les transportant d’un lieu à l’autre de la planète aussi vite que possible, mais généralement cela n’a pas été le cas soit que le reste de la planète se déplace vers eux (tourisme, spectacle…).

 La mondialisation culturelle est vouée à l’échec en ce sens qu’on ignore aujourd’hui non seulement le poids social et économique dit industries culturelles mais aussi l’importance de la culture dans la vie des sociétés et des communautés. Pourtant, toutes les activités culturelles créent un nombre important d’emplois directs ou indirects, partiels ou à temps complet dans un contexte de chômage généralisé, elles sont créatrices de qualité, d’innovation génératrices de ressources et de formation. De plus, elles tracent aussi l’espace ou le dialogue inter culturel noué entre les générations, les classes, les appartenances diverses, tout autant que celui d’où surgit la capacité d’un dialogue interculturel, générateur de paix, d’intelligence et de prospérité. Plus important encore, la culture qui est un lieu d’où s’organise l’économie, son tissu et sa texture n’est pas valorisée comme il se doit : pourtant les industries culturelles sont génératrices d’emplois. Elles génèrent également compétence et qualité du plus haut niveau qui a leur tour produit la formation.

La mondialisation culturelle devait par les circulations des biens culturels, installer ou manifester un dialogue interculturel de fait ; consolider par la consultation symbolique de valeurs à l’intérieur des pays membres eux – mêmes, où se croisent des traditions diverses et nouent la tradition et le moderne.

Notons que l’activité culturelle n’est même plus économiquement centrée sur la production d’un objet ou d’un événement, mais seulement sur sa diffusion, et où les pays les moins avancés, en général, n’ont aucune maitrise des mécanismes de distribution. L’accès aux industries culturelles leur est extrêmement difficile. Ces pays y émergent un peu mais sans en contrôler le fonctionnement comme les pays les plus avancés, ni bénéficier des retours légitimes. Pourtant dans la spirale de la mondialisation, l’ordre culturel mis en place pourrait à terme égaliser les produits, en les adaptant aux normes d’un marché banalisé à vocation universelle. En conséquence, les pays les moins avancés dont les productions artistiques expriment des identités fortes et diverses, risquent de perdre leur originalité dans ce jeu d’érosion de la mondialisation culturelle où leur rôle est passif. Alors les grandes questions qui se posent sont celles de savoir comment participer aux flux des produits culturels sans y perdre son âme, c’est – à – dire les identités et la capacité de création que ces produits sont supposés perpétuer ? Quelles sont les conditions d’une intégration équitable aux marchés des industries culturelles, de telle façon que soient préservés et la créativité et les intérêts des acteurs concernés ? Voila les quelques questions qui se posent universellement, mais elles se posent de la façon la plus aiguë aux pays émergents et surtout les Etats les plus faibles.

Conclusion
Considérant pour terminer que dans la mondialisation culturelle, les enjeux politiques de la culture sont incontestables et ses enjeux économiques non moins évident. Cependant, la dimension financière de la culture, qui prend en compte les échanges nationaux et internationaux, tend aujourd’hui à masquer la dimension sociale du secteur c’est-à-dire de la mondialisation culturelles. Notons que les produits, les productions et échanges culturels signifient aussi travail et rémunération, c'est-à-dire  emplois plus gain. Alors, qu’en est – il des marchés culturels dans les pays les moins avancés ?...

            Enfin, il faut noter que les mondialisations au plan politique, économique, social et culturel sont perçues comme une menace dans la mesure où elle tendrait à uniformiser toutes les sociétés autour d’un modèle disons purement occidental, unique ne constituerait pas cependant un protectionnisme pour les pays les plus forts ? De ce fait, les mondialisations apparaissent ici comme un fardeau sans pareil pour les Etats les moins avancés par les inégalités qu’elles offrent dans la donne. Elles apparaissent aujourd’hui comme synonyme d’exclusion car elles aboutissent à accentuer les inégalités autant à l’intérieur des pays qu’entre les ensembles géographique par conséquent, comment ces pays perdants peuvent s’organiser pour jouer leur rôle ? Fort de ce qui précède, il faut reconnaître que les mondialisations sont vouées à l’échec.

Les mondialisations telles qu’elles ont été conçues devraient contribuer à l’universalisation d’un certain nombre de valeur et de droit que les pays membres doivent mettre en commun. Nous pouvons citer entre autres, droits de l’Homme, droits au travail, droits de l’environnement, droits des générations futures etc.

Les mondialisations devraient briser les barrières qui existent entre les différents Etats du monde que ça soit sur le plan politique, économique, social ou culturel afin de tout uniformiser mais malheureusement, ces mondialisations créent encore des frustrations entre les Etats regroupés. En conséquence, la tendance est aujourd’hui beaucoup plus favorable à la fragmentation. Nous pouvons prendre des pays membres de l’Union Européenne qui se sont unis et qui ont fait preuve de leur union en matière de prise de décision, de création des institutions, d’aide et autres de commun accord ce qui donne un tonus à l’union de bien fonctionner et de faire davantage.

De plus, il convient aussi de signaler le cas des pays du G8 ou G20 aujourd’hui qui deviennent de plus en plus forts politiquement, économiquement et socialement car les termes des échanges entre ces pays sont francs c’est-à-dire que s’il y a un bénéfice quelconque, cela profite à tous les pays membres du groupe sans exception de quoi que ce soit.

Les mondialisations présentent aujourd’hui des défaillances à tous les niveaux politique, économique social et culturel ce qui démontre le contraire de la raison d’être de ces mondialisations qui devaient être une chance du développement pour les pays groupés.

Pourtant, la philosophie des mondialisations en elle-même était appréciable au départ mais dans la pratique elle révèle autre chose. Par sa philosophie, les Etats les moins avancés se voient obliger de fournir des efforts considérables en travaillant sur eux-mêmes afin de se présenter au rendez – vous du donner et de recevoir. Cela devait pourtant être une source authentique du développement pour ces pays.

De ce fait, l’on se demande comment un pays qui travaille sérieusement sur lui-même afin de se faire valoriser dans un système groupé ne peut- il pas tirer un profit proportionnellement à ce qu’il a offert ? N’est – ce pas  là de l’inégalité ? Ou de déséquilibre entre les Etats groupés ? Nonobstant les conditionnalités imposées à ces Etats les moins avancés, ceux-ci fournissent des efforts considérables d’être à la hauteur des sections qu’il devient de mener pour ce faire puissants pour être mis en vente n’est pas là l’injustice ou bien un abus de pouvoir ? Dans ce cas, n’est il pas possible maintenant pour ces Etats victimes d’injustice de préconiser la fragmentation en lieu et place des mondialisations caractérisées par l’inégalité et qui constituent un système de protectionnisme pour les Etats puissants ?



Ecrit par: Martial NANGBEI
Etudiant à l'Université de Bangui

 

 

 

 

 

 

 

 


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Citation  
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Franklin Delano Roosevelt (Président américain)

''La raison et la parole unissent les Hommes entre eux''
Cicéron (Philosophe et avocat grec)
 
Hymne national centrafricain  
  LA RENAISSANCE

Ô Centrafrique, Ô berceau des Bantous !
Reprends ton droit au respect, à la vie !
Longtemps soumis, longtemps brimé par tous,
Mais de ce jour brisant la tyrannie.

Dans le travail, l'ordre et la dignité,
Tu reconquiers ton droit, ton unité,
Et pour franchir cette étape nouvelle,
De nos ancêtres la voix nous appelle :

Au travail dans l'ordre et la dignité,
Dans le respect du droit, dans l'unité,
Brisant la misère et la tyrannie,
Brandissant l'étendard de la Patrie.
 
Présentation de Centrafrique  
  La République centrafricaine, aussi appelée Centrafrique, en sango Ködörösêse tî Bêafrîka, est un pays sans accès à la mer d'Afrique centrale, entouré par le Cameroun à l'ouest, le Tchad au nord, le Soudan et le Soudan du Sud à l'est, la République démocratique du Congo et le Congo au sud. L'essentiel de la frontière sud du pays est marqué par le fleuve Oubangui et le Mbomou en amont. La partie nord du pays constitue le haut bassin du fleuve Chari. Ce sont ces deux fleuves qui donnèrent son nom de colonie au pays alors sous domination française.

Histoire
Les Français colonisèrent la région à la fin du XIXe siècle et l'administrèrent sous le nom d'Oubangui-Chari. Durant la Seconde Guerre mondiale, la colonie se joignit aux Forces alliées. Le pays devient la République centrafricaine le 1er décembre 1958 et proclame son indépendance le 13 août 1960.

Depuis, le pays a conservé le français comme langue officielle, utilisée dans les documents administratifs, alors que le sango, langue véhiculaire, agit comme unificateur du pays, permettant à chacun de se comprendre, même sans éducation scolaire avancée.
 
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